Statuette en bronze de Silène (satyre ivre) 1er siècle

Pompéi, Maison des marbres colorés, maison de Marmi.

Chandelier en forme de jeune arbre et lampe à huile avec poignet en forme de tête de coq.

Autre lampe à huile.

Scène de naissance et enlèvement de Perséphone , plaquette en ivoire 1er siècle.

Vase pour l'au ou le vin.

Tasse à vin décorée des 12 travaux d’Hercule..

Le Temple d'Isis à Pompéi.

Peinture murale du Quatrième Style avec paysage architectural, clôture  sacrée avec temple, statues et place avec arbres, détail d'un panneau du mur ouest de l'Ekklesiasterion du Temple d'Isis à Pompéi.

 

 

 

 

 

. Le ba-bénou âme du dieu sur le sarcophage d'Osiris (gros plan), fresque du temple d'Isis à Pompéi, Ier siècle ap. J.-C

Io et Isis 

Porte sacrée avec arbre et tente et petit temple contenant une statue en arrière-plan.

Temple d'Isis, mur nord de l'Ekklesiasterion, Pompéi

Peinture murale du Quatrième Style

Le laraire : le lieu de culte des divinités domestiques

laraire, ou lararium en latin, c’est-à-dire l’endroit où les Romains et Romaines rendaient un culte à leurs divinités domestiques.

Le plus souvent, le laraire est placé dans la cuisine, près du foyer. Mais tu le trouveras aussi dans l’atrium (le vestibule), le tablinum (le bureau) ou même le péristyle (la cour intérieure).

  • ne simple peinture murale
  • Une niche ménagée dans un mur
  • Un temple me miniature pour les laraires les plus sophistiqué

Les images peintes sur la lararia (pluriel de lararium) suivent, pour la plupart, un thème commun. Deux jeunes personnages – les Lares – avec des rhytons et des plats de libation sont figés en danse de chaque côté d'un personnage en robe. Cette figure est le génie , ou divinité tutélaire/créatrice du paterfamilias , le chef de famille. Il est représenté en train de sacrifier devant un autel ou tenant un plat d'offrande à la main.

Souvent, dans une scène distincte en dessous de celle-ci se trouve une représentation d’un ou deux serpents. Les serpents n'ont aucune des mauvaises associations pour lesquelles ils sont connus dans le christianisme : ils sont plutôt considérés comme les gardiens de la maison et de la terre et symbolisent la procréativité de la famille. Ils sont, à cet égard, associés au génie .

Une peinture murale de la Maison du Centenaire, avec Bacchus, présente la plus ancienne représentation connue du Vésuve

Isis, au centre, tient un sistre (instrument de musique); Luno galope et Cupidon tient une torche. Maison de philocalus.

Thésée le libérateur.

Thésée  célébré par les athéniens après avoir vaincu le Minotaure.

Le sacrifice d'Iphigénie.

La Maison du poète tragique (également appelée Maison homérique ou Maison iliadique ) est une maison romaine de Pompéi , en Italie, datant du IIe siècle avant notre ère. La maison est célèbre pour ses sols en mosaïques élaborées et ses fresques représentant des scènes de la mythologie grecque .

Le côté droit du tableau représente Calchas le voyant tenant sa main devant sa bouche pour indiquer sa révélation divine.

 À gauche du péristyle se trouvait une fresque connue sous le nom de Sacrifice d'Iphigénie, dans laquelle une Iphigénie nue est emmenée par Ulysse et Achille pour être sacrifiée juste avant qu'Artémis ne livre un cerf pour le sacrifier à sa place.

e.  Le père d'Iphigénie, Agamemnon, est assis sur le côté gauche du panneau, face au groupe, le visage recouvert d'un voile, semblable à une autre peinture de la scène de l'artiste Timanthès. [2]

Fresques romaines - Pompéi - Alceste et Admète

Dionysos et Ariane.

Dionysos avec l'aide de Cupidon, découvre le voile d'Ariane 

Fresque du Ier siècle après J.-C., provenant d’un mur du triclinium de la maison de Paccius Alexander à Pompéi (IX, 1, 7), conservée au Musée archéologique de Naples, © Wikimedia commons

Fidèle au récit homérique, la scène représente le moment où Héphaïstos offre à Thétis les armes qu’il a forgées pour son fils Achille, et en particulier un grand bouclier.

En partant de la droite, on observe :

une femme debout : sans doute Charis (la Grâce en grec) « à l’éclatant bandeau », l’épouse du dieu selon Homère, qui vient d’accueillir Thétis.
une femme assise sur une sorte de trône : Thétis « au long péplos », venue chercher des armes pour son fils Achille. La description homérique est soigneusement respectée, jusqu’au détail du repose-pieds : « Charis fit avancer Thétis. Sur un trône orné de clous d’argent, un beau trône habilement ouvré, elle la fit asseoir ; un tabouret pour les pieds se trouvait à sa base. » (Iliade, chant XVIII, vers 388 - 390). Un homme debout soutient un bouclier : un assistant du dieu forgeron.
un personnage assis présentant le bouclier à Thétis : le dieu Héphaïstos / Vulcain lui-même. Il est représenté comme un simple artisan, avec des détails vestimentaires caractéristiques : le bonnet conique en feutre (le pilos en grec, pileus en latin) et la tunique en laine (le chitôn), courte et sans manches (celle des esclaves et des ouvriers ne couvre que le bras gauche, l’épaule gauche et la poitrine). Il tient un outil (une sorte de double hache) dans sa main droite ; quelques autres (marteaux, tenailles) sont posés devant lui. On remarque sa peau hâlée et son teint rougeoyant (caractérisant celui qui travaille et transpire), qui tranchent avec la carnation des personnages féminins (teint pâle), selon les conventions de la peinture.
un homme assis, vu de dos : un second assistant du dieu, en train de ciseler un casque posé devant lui avec un marteau et un burin.
On observe que le dieu forgeron est aidé dans sa tâche par deux ouvriers. Cependant, dans l’Iliade, Héphaïstos travaille seul. Ce n’est qu’à partir de l’époque hellénistique (IVe siècle avant J.-C.) que la littérature montre le dieu travaillant avec les Cyclopes dans sa forge (située dans l’Etna en Sicile ou dans le volcan de l’île Lipari), thème ensuite repris par les auteurs latins.

Au sol se trouvent les cnémides (jambières) et la cuirasse, décorées et rutilantes, qui constituent l’armement traditionnel du guerrier.

(odysseum)

Quant au fameux bouclier en métal (or, étain et bronze), dont Homère décrit longuement le décor, on distingue des figures finement ciselées sur ses bords ; cependant, il apparaît si poli et si brillant qu’il fait l’effet d’un miroir dans lequel Thétis peut voir sa propre image se refléter.

Fresque d'Enée blessé à Pompéi

Fresque du IVème style pompéien de la maison de Sirico (découverte dans le triclinium ou salle de banquet en 1825) à Pompéi, 45-79 après JC, musée archéologique, Naples.

 

La peinture représente Enée soigné par le médecin Japix, qui tente de tirer le pic d’une flèche ennemie hors de sa cuisse droite avec une pince ou un scalpel. La fresque s’inspire de l’épisode raconté par Virgile dans le dernier livre de l’Enéide, quand le héros troyen fut blessé à la cuisse par une flèche perdue et forcé de se retirer, accompagné par Ascanius, Achates et Mnesteo. Réalisée par un peintre aux capacités artistiques rares, la fresque a pour principaux intérêts certes l'opération chirurgicale et peut être surtout, montré à l’intérieur d’un triclinium, un hommage à l’histoire mythologique des origines de Rome.

 

En effet, d'après le récit légendaire de Virgile, Romulus et Rémus seraient les descendants d'Énée par leur mère la vestale Rhéa Silvia et fils du dieu de la guerre Mars. Les Romains considéraient Enée comme le père fondateur de leur civilisation. Et la famille romaine des Julii (la gens Julia en latin) traça son origine généalogique depuis Iule, fils d'Énée. Les membres les plus célèbres de cette famille sont Jules César (Caius Julius Caesar) et son fils adoptif Auguste, le premier empereur romain, qui utilisèrent cette origine pour légitimer leur pouvoir. Elle donne son nom à la première dynastie impériale romaine, les Julio-Claudiens  ( Photopoesie) 

Arès et Aphrodite.

 Dans la mythologie grecque : le lien étrange qui existe entre beauté et guerre..

Selon le mythe d’Aphrodite et d’Arès, lorsque le dieu de la guerre a rencontré la déesse de la beauté, il en est tombé fou amoureux. Contrairement à ce qu’il a fait avec ses autres amantes, il a décidé de la courtiser. Il l’a couverte de cadeaux et de flatteries pour gagner son amour. Les deux ont passé beaucoup de temps ensemble, jusqu’à ce qu’Aphrodite lui rende la pareille.

Héphaïstos, son mari, passait ses nuits dans sa forge. Les deux amants ont profité de cette situation pour s’aimer jusqu’à l’aube. Arès était toujours accompagné d’un jeune homme nommé Alectryon, qui surveillait la porte. Sa mission était de les avertir quand Hélios, le Soleil, apparaissait à l’horizon. Hélios voyait tout et ils devaient garder leur romance secrète.

 Persée et Andromède., milieu du 1er siècle.

 Persée libère Andromède  en la  détachant d'un rocher après avoir vaincu un monstre marin (la gorgone) à qui elle avait été offerte en sacrifice.

Puis, il l’épousera.

La légende raconte que Cassiopée provoqua la colère du dieu Poséidon en affirmant qu'elle était plus belle que les Néréïdes (des divinités féminines et marines). Pour la punir, Poséidon, dieu des mers, créa un monstre marin qui ravagea le pays. Un oracle révéla que pour arrêter le fléau, il fallait sacrifier Andromède. Elle fut attachée nue sur un rocher afin qu'elle soit dévorée par le monstre marin.

Persée qui venait de tuer Méduse, une gorgone, passait par là. En voyant la  belle Andromède, il tomba immédiatement amoureux d'elle et décida de la sauver. Mais avant ça, il partit chez les parents d'Andromède. Il leur promit de sauver leur fille en échange de la main d'Andromède. Céphée et Cassiopée acceptèrent.

Il y a eu deux versions du combat de Persée contre le monstre marin. Dans la première version (celle des Métamorphoses d'Ovide), Persée vole grâce aux sandales ailées d’Hermès et il tue le monstre marin avec l'épée et le bouclier d'Athéna. Dans l'autre version, il vole sur le dos du cheval Pégase et il tue le monstre marin en le pétrifiant avec la tête de Méduse.

Ensuite il détacha Andromède et la ramena à ses parents. 

Les jeunes gens se marièrent. Mais Andromède était déjà promise en mariage à Phinée, le frère de Céphée. Alors Phinée décida de combattre Persée. Mais Persée pétrifia Phinée à l'aide de la tête de Méduse

Andromède et Persée vécurent heureux et régnèrent sur la ville de Tirynthe. Leur plus jeune fils, Électryon, est le grand-père d'Héraclès. (wikipedia)

 

maison de Meleager, Didon abandonnée

 

 

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